des
autres
STARS
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Retrouvez les voitures qui ont marqué ces 40 dernières
années
chaque
image s'ouvre dans sa propre fenêtre
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AUSTIN
- MORRIS
- BMC - ROVER |
Austin Morris a été le 1er constructeur automobile
à s'investir massivement en rallye. Avec la Mini Cooper (du
nom de l'ingénieur qui a conçu le moteur de ce modèle)
Austin a pratiquement tout raflé... en europe.
En 1984, 20 ans après ses célèbres succès,
les anglais (maintenant Austin-Rover) reviennent avec une "Metro".
Ils font toujours dans le format mini, avec cette Metro 6R4, mais
ont, encore, réuni une bonne partie des ingrédients
qui mènent aux victoires : 4 roue motrices, moteur central.
En 1986 la FISA lui coupera son élan (comme à toutes
les voitures du goupe b) en lui interdisant la route. Elle se rabattra
sur le rallycross. |
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CITROËN |
Dès la fin des années 50, Citroën s'est intéressé
à la compétition automobile. Les débuts ont
été timides mais prometteurs grâce à
ses "grosses" berlines à suspension hydropneumatique.
Pour mettre en valeur ce système, rien de mieux que les terrains
les plus cassants, d'Afrique et des rallye-raids. Les plus grands
pilotes les emmèneront de succès en succès
: René Trautmann, Lucien Bianchi, Pauli Toivonen, et bien
d'autres. Il faut aussi préciser qu'elles ont subi un traitement
de choc, elles sont passées à la tronçonneuse
pour supprimer tout ce qui était superflu !
En 1985, Citroën revient au rallye par la petite porte (avec
bien moins de moyens que le cousin Peugeot). Le programme de la
BX 4TC est très léger... et n'aura pas le temps de
s'étoffer, elle subira, comme les autres groupe b, la couperet
à la fin de l'année 1986.
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FORD |
En Europe, particulièrement en rallye, le véhicule
FORD de compétition est l'ESCORT. Dès la fin des années
60, l'Escort TC fait des ravages dans les classements grâce
à son gabarit moyen, sa grande vivacité et sa puissance
respectable. Elle prouvera d'emblée sa grande polyvalence
et robustesse en emportant la surmédiatisée course
de plus de 24 000 kilomètres : Londres-Mexico. C'était
en lever de rideau d'une carrière plus que glorieuse.
Après une éclipse de presque 10 ans, et après
la RS 200, l'Escort
fait à nouveau parler d'elle en 1992, non plus en simple
propulsion, mais en traction intégrale.
L'Escort Cosworth gagnera quelques rallyes aux mains de F. Delecour,
M. Biasion et C. Sainz, entre autres.
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LANCIA |
LANCIA, c'est la plus grande saga des rallyes mondiaux. De la Fulvia
du début des années 70 jusqu'à la Delta Integrale
Evoluzione, les italiens de Milan ont tout remporté à
travers le monde. Pour illustrer cette formidable épopée,
j'ai choisi quelques images des 2 voitures les plus représentatives
(en plus de la STRATOS
et de la Delta S4 traitées
en détail) : la Rallye 037 et la Delta des années
90.
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OPEL |
La marque OPEL a souvent été présente en rallye
mondial au fil des années. D'abord avec la Kadett GTE durant
les années 70 qui conquit quelques belles places d'honneur,
puis l'Ascona 400 qui s'illustra au début des années
80 avec A. Vatanen et W. Röhrl (elle lui permit de devenir
champion du monde), enfin, avec la Manta 400 qui remplaça
progressivement l'Ascona en 1983.
Le grand retour au premier plan était programmé en
1987 avec une Kadett en configuration groupe b, mais le changement
de réglementation en décidera autrement.
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PORSCHE |
En 1978, Porsche entamait sa dernière saison d'engagement
officiel dans le championnat du monde des rallyes. Mais la prestigieuse
marque allemande a toujours enflammé les passions, et depuis
les années 60, on n'a cessé de constater des engagements
de voitures privées dans les championnats nationaux... avec
toujours, la vénérable 911.
Le renouveau de la marque aurait dû se produire en 1985 avec
l'apparition de la 911 à 4 roues motrices, mais le constructeur
allemand a évité l'affrontement direct avec une concurrence
particulièrement affutée et s'en est allé chercher
un autre terrain : les rallye-raids.
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RENAULT |
Les 2 héroïnes retenues (pour l'instant) sont les Renault
8 et Renault 5 Turbo car elles ont très largment marqué
leur époque... à tel point qu'on les retrouve encore
au départ des rallyes régionaux.
La R8 est apparue en 1964 aux mains de Vinatier, mais tous les pilotes
français des années 70 et 80 ont appris à son
bord ce que le verbe glisser signifie : cette voiture est
à elle seule "l'école du survirage".
La R5 Turbo est apparue au public en 1979 et représente le
renouveau sportif de Renault et de la France.
Son moteur central arrière est, à lui seul, tout le
symbole de cette nouvelle efficacité.
Elle devient, très vite, aux mains expertes de Jean Ragnotti,
la voiture à battre sur l'asphalte, car il lui manque 2 roues
motrices supplémentaires pour aller chercher les victoires
sur terre.
En 1984 apparait la R5Maxi, ultime évolution de la R5 Turbo.
Elle est le dernier sursaut d'orgueuil de Renault en rallye. La
Maxi poursuivra sa carrière sur piste, en Supertourisme.
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TALBOT |
Chez Peugeot il n'existait pas de structure sportive dédiée
au début des années 80. La seule entité dans
le groupe était cette poignée d'hommes qui a permis
à Talbot de remporter le titre des constructeurs en 1981.
En créant le service sportif Peugeot en 1982 (PTS),
Jean Todt a associé ce nom prestigieux à celui du
nouveau propriétaire de la marque. Après la Sunbeam
à moteur Lotus, c'est la Samba groupe b qui a permis de maintenir
la renommée Talbot en rallyes.
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